Mais de toi je ferai ce que je voudrais
Mais de toi je ferai ce que je voudrais
Et si tu prends mon coeur ça ne me fait pas peur
et si tu prends mon corps tu n'as pas vraiment tort
De Macao à San Francisco
Je brûlerai les planches des tripots
Dans la vapeur des fumeries d'opium
Je verrai bien si tu es un homme
Montre-moi enlève-moi
Tu seras comme le héros de mes rêves
Les frissons et les larmes
C'est encore la même histoire romantique
Mais de toi je ferai ce que je voudrais
Mais de toi je ferai ce que je voudrais
Et si tu prends mon coeur ça ne me fait pas peur
et si tu prends mon corps tu n'as pas vraiment tort
La chaleur de la nuit
Tu verras enivre-toi c'est magique
Les frissons et les larmes
C'est encore la même histoire romantique
Mais de toi je ferai ce que je voudrais
Mais de toi je ferai ce que je voudrais
Et si tu prends mon coeur ça ne me fait pas peur
et si tu prends mon corps tu n'as pas vraiment tort
Et de toi je ferai ce que je voudrais
collyre je pleure
pas sûre par coeur
sourire flatteur
blessure ailleurs
nature pudeur
désir douleur
rature j'effleure
Mes rêves mes rêves mes rêves
Mes rêves mes rêves mes rêves
Pour des réalités
pas préparée
à me cacher derrière des vitres teintées
pas assurée
contre les risques du métier
pas décidée
à me planquer dans un endroit protégé
pas limitée
aux cas d'figure imposées
pas supporter j'peux pas supporter
les salles d'attente engorgées
pas décidée
à m'laisser marcher sur les pieds
she's got a secret she's got
she's got a little secret
Mes rêves mes rêves mes rêves
Mes rêves mes rêves mes rêves
Pour pour des réalités
J'prends
Mes rêves mes rêves mes rêves
Mes rêves mes rêves mes rêves
Pour des réalités
J'devrais penser
à m'forger un moral en acier trempé
ne plus m'ronger
mon vernis bleu cyber nacré
m'sentir en sécurité
sous protection à indice élevé
traumatisée
faudrait pas stigmatiser
pas compliqué c'est pas compliqué
j'trouve pas ça tell'ment sorcier
bien décidée
mes idées se sont arrêtées
she's got a secret she's got
she's got a little secret
Mes rêves mes rêves mes rêves
Mes rêves mes rêves mes rêves
Pour pour des réalités
J'prends
Mes rêves mes rêves mes rêves
Mes rêves mes rêves mes rêves
Pour pour des réalités
idéaliser idéaliser
Tous mes désirs inavoués
décor l'envers
retour revers
efforts à faire
raccord éclair
velours mohair
à jour hier
j'ai tord je perds (je perds)
Mes rêves mes rêves mes rêves
Mes rêves mes rêves mes rêves
Pour pour des réalités
idéaliser (Mes rêves mes rêves mes rêves)
idéaliser (Mes rêves mes rêves mes rêves)
Tous mes désirs inavoués
Paroles : Daniel Castano Musique : Ysa Ferrer / Daniel Castano
Enregistré et mixé par les Rapino Brother
au studio the Appartment Londres
Quand vient l'mardi, la grande Zoa
Met ses bijoux, ses chinchillas
Et puis à minuit, la grande Zoa
Autour du coup s'met un boa
Y en a qui marmonnent
Que la grande Zoa
Ce serait un homme
On dit ça !
Dans sa Rolls blanche
Elle s'en va Place Blanche
Dans des Night Club
Ou dans des Pub
Aussitôt qu'elle entre
Elle devient le centre
Des conversations
Entre garçons
Comme elle est bizarre !
Quelle allure elle a !
Et ce grand coup là, OH !
Mais c'est un boa !
Si de toute la semaine on n'la voit plus
Elle n'a tout de même pas disparue
On peut la retrouver rue des saint pères
Décorateur et antiquaire
En complet veston
Plein d'décorations
Elle vend du Louis XVI
Avec des yeux d'braise
Mais quand vient l'mardi,la grande Zoa
Met ses bijoux, ses chinchillas
Et puis à minuit, la grande Zoa
Autour du coup remet son boa
Y en a qui racontent
Que dans sa famille
On a parfois honte
Quand elle se maquille
Elle va chez Henry
Pour boire un coca
Et demande un whisky
Pour son boa
Quand il est très tard
On la voit rentrer
Fumant un cigare
A grosse bouffées
On a jamais su
Qui était Zoa
Elle fût mangée crue
Par son boa
Elle fût mangée crue
Par son boa
Elle fût mangée crue
Par son boa
Refrain:
Partir un jour sans retour
effacer notre amour
sans se retourner
ne pas regretter
garder les instants qu'on a volés
Partir un jour
sans bagages
oublier ton image
sans se retourner
ne pas regretter
penser à demain,
recommencer
Pour l'envie que l'on a de guider ses pas
Pour garder ses émois
Ecouter son coeur qui bat
Pour savoir regarder (regarder) un ciel étoilé
Tendre les mains
A son destin
Vouloir plus fort,
Encore demain
Refrain
Pour l'amour que l'on donne et qui s'abandonne
un mot que l'on pardonne pour les rêves qui m'étonnent
Pour le goût retrouvé de la liberté
Ouvrir les yeux sans se dire adieu
ne penser à rien, réver un peu
Refrain
(récité)
Il y a peu être 150 millions de galaxies contenant chacune 120,
150 millions d'étoiles...A des centaines de milliers d'années
lumières.... Il y a des centaines d'autres galaxies contenant encore
des milliards d'étoiles...Poussière dans un Sahara d'étoiles...
malgré les grands yeux du néant
c'est pour mieux nous manger enfant
et les silences et les boucans...
faut vivre
bien qu'aveugles sur fond de nuit
entre les gouffres infinis
des milliards d'étoiles qui rient...
faut vivre...
malgré qu'on soit pas toujours beau
et que l'on ait plus ses seize ans
et sur l'espoir un chèque en blanc
faut vivre...
malgré le coeur qui perd le nord
au vent d'amour qui souffle encore
et qui parfois encore nous grise
faut vivre...
malgré qu'on ait pas de génie
n'est pas Rimbaud qui peu pardi
et qu'on se cherche un alibi
malgré tous nos morts en goguette
qui errent dans les rues de nos têtes
faut vivre...
malgré qu'on soit brave et salaud
qu'on est des complexes à gogo
et qu'on les aime c'est ça le pire
faut vivre...
malgré l'idéal du jeune temps
qui c'est usé au nerf du temps
et par d'autre repris en chantant
faut vivre...
malgré qu'en s'tournant vers l'passé
on est effrayé de s'avouer
qu'on a tout de même un peu changer
faut vivre...
malgré qu'on soit du même voyage
qu'on vive en fou, qu'on vive en sage
tout finira dans un naufrage
faut vivre...
malgré qu'au ciel de nos poitrines
en nous sentinelle endormie
dans un bruit d'usine gémit
le coeur aveugle qui funambule
sur le fil du présent qui fuit
faut vivre...
malgré qu'en nous un enfant mort
parfois si peu sourit encore
comme un vieux rêve qui agonise
faut vivre...
malgré qu'on soit dans l'engrenage
des notaires et des héritages
ou le coeur s'écoeure et s'enlise
faut vivre...
malgré qu'on fasse de l'humour noir
sur l'amour qui nous en fera voir
jusqu'à ce qu'il nous dise au revoir
faut vivre...
malgré qu'à tous les horizons
comme un point d'interrogation
la mort nous regarde d'un oeil ivre
faut vivre...
malgré tous nos serments d'amour
tous nos mensonges jour après jour
et bien que l'on ait qu'une vie
une seule pour l'éternité
malgré qu'on la sache ratée....
Faut vivre...
Elle est abonnée à Marie Claire
Dans L'nouvel Ob's elle ne lit que Brétécher
Le monde y a longtemps qu'elle fait plus semblant
Elle a acheté Match en cachette c'est bien plus marrant
Refrain : (bis)
Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Etre une femme libérée tu sais c'est pas si facile
Au fond de son lit un macho s'endort
Qui ne l'aimera pas plus loin que l'aurore
Mais elle s'en fout, elle s'éclate quand même
Et lui ronronne des tonnes de "je t'aime"
Refrain
Sa première ride lui fait du souci
Le reflet du miroir pèse sur sa vie
Elle rentre son ventre à chaque fois qu'elle sort
Même dans "Elle" ils disent qu'il faut faire des efforts
Refrain
Elle fume beaucoup elle a des avis sur tout
Elle aime raconter qu'elle sait changer une roue
Elle avoue son âge celui de ses enfants
Et goûte même un p'tit joint de temps en temps
Refrain (ad lib..)
Suzanne t'amène
Ecouter les sirènes
Elle te prend par la main
Pour passer une nuit sans fin
Tu sais qu'elle est à moitié folle
C'est pourquoi tu veux rester
Sur un plateau d'argent
Elle te sert du thé au jasmin
Et quand tu voudrais lui dire
Que tu n'as pas d'amour pour elle
Elle t'appelle dans ces ondes
Et laisse la mer répondre
Que depuis toujours tu l'aimes
Tu veux rester à ses côtés
Maintenant tu n'as plus peur de voyager
Les yeux fermes
Une flamme brûle dans ton coeur
Il était un pécheur
Venu sur la terre
Qui a veillé très longtemps
Du haut d'un tour solitaire
Quand il a compris
Que seuls les hommes perdus le voyaient
Il a dit qu'on voguerait
Jusqu'à ce que les vagues nous libèrent
Mais lui-même fut brisé
Bien avant que le ciel s'ouvre
Délaissé, presqu'un homme
Il accourait sous votre sagesse
Comme une pierre
Tu veux rester à ses côtés
Maintenant tu n'as plus peur de voyager
Les yeux fermes
Une flamme brûle dans ton coeur
Suzanne t'amène
Ecouter les sirènes
Elle te prend par la main
Pour passer une nuit sans fin
Comme du miel
Le soleil coule
Sur notre dame des pleurs
Elle te montre ou cherche
Il me racontait qu’il voulait s’éloigner, qu’il désirait
fuir
Ses parents ce monde qui ne le comprenait pas, oui il songeait à
partir.
Mon ami était prisonnier de son esprit,
Une autre chose en tête a quelque chose
Un adolescent incompris.
Son père était souvent la cause de ses soucis
Il n’appréciait pas que son unique enfant choisisse la musique
comme
hobby.
Et si je te dis qu’il le traquait tous les soirs
Pour qu’il ne prenne pas le chemin des MC des étangs noirs,
Malheureusement, de plus, ayant une forte personnalité
Et n’aimant pas trop les chuts...
Il s’pressait de rentrer dans sa chambre et travailler avec
acharnement...
La musique et l’école... de temps en temps.
Seigneur pardonne le mais ces liens l’étreignent
Crois moi il ne fait pas semblant
J’en ai encore les larmes aux yeux car je le comprends
Mon jumeau dit et calmement je le comprends...
Mon jumeau dit et calmement je le comprends...
Quand une mère meurt il ne reste plus de parents
Mais qu’est-ce qui se passe quand le père amadoue l’enfant?
Dès son plus jeune âge il devient complètement
crédule
C’est un fils crapuleux
C’est un fils de crapule
Après quinze autres années, il voulut reprendre le flambeau,
croyant que les enfants s’élèvent comme on élève
les chameaux
Chaque jour il lui cause des irritations
En lui disant qu’avec ses sorties abusives il suit le chemin du démon
L’enfant se pose des questions
Est-il victime d’une trahison?
Coup sur coup il reçoit des putains de coups d’pression!
Son seul refuge est dans la prière
Il implore Jack car c’est lui son seul père
Alors il s’abstient et ne dialogue plus
Il est dans l’impasse il ne retrouve plus sa rue
Incompréhension entre ses parents et ses frères
Il ne sait que faire, Il ne sait que faire
REFRAIN
Renfermé sur lui-même, mais quand même confiant
Il souffrait derrière nous et souriait devant
Ne plus parler à la maison était peut-être le solution
Mais vivre avec alémanique n’a pas été sa formation
Son nom son donnait-il à Dieu se dirigeait vers la chanson
Le RAP Comme le temps d’un nom
Il est semblable à la majorité des pères africains
La religion ans sa famille dominait le terrain
Bien au point d’être entièrement dominé par le
Tout-puissant
La passion remporte parfois sur la raison
Entends tu seulement ce rythme frénétique implicite à
100%
Mais pourquoi lui? Pourquoi lui? et pourtant...
En ayant connu tant de femmes et commis tant d’adultères
Ce qui valut un divorce entre son père et sa mère
Maintenant tous les dimanches à l’Eglise il veut être
pasteur
Pardonner tous ses pêchers il prie donc avec ardeur
Mais les reproches de mon pote ne dont pas là
Ce qu’il lui réprimande, c’est qu’il évite les débats
Il joue à cache-cache il se cache derrière sa bible
Lecture finie son fils devient sa première cible
Comme quand on câble des câbles
Prise de tête il l’accable tellement accablé qu’il ne
mange même plus à
table
Famille ne marche pas
L’école ne marche pas
Il ne sait que faire...
Il se tuera car il va plus loin que ses frères...
REFRAIN
Condamnes a l’océan au vent qui mène le bal
Oublies des honnêtes gens du dieu des cathédrales
Rien n'pouvant plus les sauver on peut traîner nos âmes
Des tropiques aux bas quartiers de Rotterdam.
A force de chercher les brumes ou cacher nos erreurs
Nous gentilshommes de fortune de quoi avons nous peur
Plus du gibet d’Savannah que d’Satan et ses flammes
On préfère la mort du bras qui tient une lame
Prêt a livrer mille batailles pour l'or du roi d’Espagne
Le pont témoin d'nos ripailles sait chaque fois que l'on gagne
Le rhum et le chant des hommes font briller les étoiles
Sur une gigue on fait les mômes , on remet les voiles
Le cap sur les mers du sud le temps nous en fait voir
On retrouve not' lot d'solitude, de haine de désespoir
Tant pis pour la proie facile qui croise notre route
Une fille contre le droit d'asile , c'est c'que ca coûte
Frères assassins déserteurs au destin sanguinaire
La bible le Joly Roger a bord ca va de pair
bis
Ce n'est pas l'sang sur nos mains qui fera peur aux femmes
Comme nous elles valent moins que rien , moins que leurs charmes
Ils ont quittes leur terre
Leurs champs de fleurs
Et leurs livres sacres
Traverses les rizieres
Jusqu'au grand fleuve sale
Sans amour, sans un cris
Ils ont fermes leurs visages de miel
Les yeus mouilles de pluie
Les mains tendues vers le ciel
Un peu plus pres des etoiles
Au jardin de lumiere et d'argent
Pour oublier les rivages brulant
Un peu plus pres des etoiles
A l'abri des coleres du vent
A peine un peu plus libre qu'avant
Au pied des murs de pierres
Ils ont brules leurs dragons de papier
Refermes leurs paupieres
Sur les chenilles d'acier
Eux qui croyaient vieillir
En regardant grandir leurs enfants
A l'ombre du sourire
Des Boudas de marbre blanc
Un peu plus pres des etoiles
Au jardin de lumiere et d'argent
Pour oublier les rivages brulant
Un peu plus pres des etoiles
A l'abri des coleres du vent
A peine un peu plus libre qu'avant
Ils parlent a demi-mots
A mi-chemin entre la vie et la mort
Et dans leurs yeux mi-clos
Du soleil, du soleil brille encore
Une ile de lumiere
Un cerf volant s'est pose sur la mer
Un vent de liberte
Trop loin, trop loin pour les emporter
Un peu plus pres des etoiles
Au jardin de lumiere et d'argent
Pour oublier les rivages brulant
Un peu plus pres des etoiles
A l'abri des coleres du vent
A peine un peu plus libre qu'avant
Un peu plus pres des etoiles
Au jardin de lumiere et d'argent
Pour oublier les rivages brulant
Un peu plus pres des etoiles
A l'abri des coleres du vent
A peine un peu plus libre qu'avant
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines
Ami, entends-tu ces cris sourds du pays qu'on enchaine
Oh, eh, partisans oublies ces paysans c'est l'alarme
Ce soir l'ennemi connaitra le prix du sang et les larmes
Ici chacun sait ce qu'il veut, ce qu'il fait quand il passe
Ami si tu tombes un ami sort de l'ombre a ta place
Demain du sang noir sechera au grand soleil sur les routes
Chantez compagnons dans la nuit la liberte nous ecoute
Ami, entends-tu ces cris sourds du pays qu'on enchaine
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines
Oh OOOOH
( RDG / Ras Tea - Yovo - j.m. Vespasien - RDG )
Dites-leur que:
Chacun sa route
Chacun son chemin
Chacun son rêve
Chacun son destin
Dites-leur que:
Chacun sa route
Chacun son chemin
Passe le message à ton voisin...
Levé à 7h. du mat'
t'es déjà en r'tard
ton patron va encore te brasser
Tu t'habilles direct
tu prendras ta douche ce soir
tu finis d'lacer tes chaussures
dans les escaliers
J'ai besoin d'air
besoin de liberté
Ce n'sont pas des mensonges
c'est la réalité
Je n'suis pas un roi
mais je n'suis pas un pion
Je dois être le fou
comme je n'suis pas cavalier
Dites-leur que:
Chacun sa route
Chacun son chemin
Chacun son rêve
Chacun son destin
Dites-leur que:
Chacun sa route
Chacun son chemin
Passe le message à ton voisin...
Et...
J'ai fait un rêve, le peuple était au pouvoir
il n'y avait plus du tout de politicien
C'était le souk.
Ni d'banques ni de magasins
tout l'monde avait un toit
et plus personne n'avait faim
Et je ne délire pas, mais je suis très sérieux
Et je ne délire pas, mais je suis très sérieux
Allez leur dire qu'on vient pas faire du cirque
Chacun sa route
Chacun son chemin
Chacun son rêve
Chacun son destin
Dites-leur que:
Chacun sa route
Chacun son chemin
Passe le message à ton voisin...
Et ça donne:
Chacun sa route
Chacun son chemin
Chacun son rêve
Chacun son destin
Dites-leur que:
Chacun sa route
Chacun son chemin
Passe le message à ton voisin...
Et ça donne:
Passe le message à ton voisin
Et ça donne...
Je me souviens des amis avec qui j'ai grandit
ce sentiment d'être exclus nous rendait solidaires
Chacun pris son train quand les années passèrent
à chacun son 'move' à chacun sa galère
Les chemins où tu ries
sont-les-mêmes que ceux où tu pleures
La vie est une aventure il ne faut pas avoir peur
Mais,
te souviens-tu des amis que tu as eus ?
Question: te souviens-tu de ceux que tu as perdus ?
Dites-leur que:
Chacun sa route
Chacun son chemin
Chacun son rêve
Chacun son destin
Dites-leur que:
Chacun sa route
Chacun son chemin
Passe le message à ton voisin...
Et ça donne:
Passe le message à ton voisin
Et ça donne:
Chacun sa route
Chacun son chemin
Chacun son rêve
Chacun son destin
Dites-leur que:
Chacun sa route
Chacun son chemin
Passe le message à ton voisin...
Et ça donne:
passe le message à ton voisin
Et ça donne:
Passe le message à ton voisin
(...)