Pascal Obispo
  Et un grand merci à Laetitia pour ces paroles de l'album "plus que tout au monde"
Où et avec qui tu m'aimes
Ca ressemble
A une histoire d'A.....
Où personne
Ne dit la lettre qu'il a
ça ressemble
Au temps qu'il fera
Mais personne
Ne sait le temps qu'il faudra

Refrain
Et je me demande
Où et avec qui tu m'aimes
On purrait se mépendre
Dis-moi où et avec qui tu m'aimes
Est ce que ça ressemble
A de l'amour dis moi
Si j'accepte....(x4)
Dis moi....

ça ressemble
A un histoire de ...
Mais personne
Ne dit qu'il a envie de
ça ressemble
Mais c'est plus que ça
Où tu vas
ça l'histoire ne le dit pas

Refrain

Qui d'autre que moi
te fait du mal, si mal
Qui d'autre pourrait
Te faire du mal
Aussi mal que moi

Et je me demande
Où et avec qui tu m'aimes
On purrait se mépendre
Dis-moi où et avec qui tu m'aimes

Refrain

Et je me demande
Si j'accepte...(x4)
Et je me demande...


Lucie

Lucie, Lucie c’est moi je sais,
Il y a des soirs comme ça où tout s’écroule autour de vous,
Sans trop savoir pourquoi toujours,
Regarder devant soi, sans jamais baisser les bras,
Je sais, c’est pas un remède à tout, mais ‘faut se forcer parfois,
Lucie, Lucie dépêche-toi, on vit, on ne meurt qu’une fois,
Et on a le temps de rien, que c’est déjà la fin,
Mais c’est pas marqué dans les livres, le plus important à vivre,
Est de vivre au jour le jour, le temps, c’est de l’amour,

Même si je n’ai pas le temps, d’assurer mes sentiments,
J’ai en moi oh de plus en plus fort, des envies d’encore,
Tu sais non je n’ai plus à cœur, de réparer mes erreurs,
De faire ce qui n’est plus à faire, de revenir en arrière,
Lucie, Lucie t’arrête pas, on ne vit qu’une vie à la fois,
A peine le temps de savoir, qu’il est déjà trop tard,
Mais c’est pas marqué dans les livres, le plus important à vivre,
Est de vivre au jour le jour, le temps, c’est de l’amour,

Ouh, Lucie j’ai fait le tour de tant d’histoires d’amour,
J’ai bien, bien assez de courage, pour tourner d’autres pages,
Saches que le temps nous est compté, faut jamais se retourner,
En se disant que c’est dommage d’avoir passé l’âge,
Lucie, Lucie t’encombre pas, de souvenirs, de choses comme ça,
Aucun regret ne vaut le coup, pour qu’on le garde en nous,
Mais c’est pas marqué dans les livres, le plus important à vivre,
Est de vivre au jour le jour, le temps, c’est de l’amour,
C’est pas marqué dans les livres, le plus important à vivre,
Est de vivre au jour le jour, le temps, c’est de l’amour.


PLUS QUE TOUT AU MONDE

Plus que tout au monde
J'aime te l'entendre dire
Et pour rien au monde
Je ne laisserai un autre te dire
Que tu comptes plus que tout

Des confidences
Dans le creux de l'oreille
Murmures de promesses
Dans nos sommeils pourpres et vermeils
Dans l'allégresse des nuits où je t'inverse
Et m'immisce dans tes délices
Au dix-septième ciel
Dis-moi encore que je compte

Plus que tout au monde
J'aime te l'entendre dire
Et pour rien au monde
Je ne laisserai un autre te dire
Que tu comptes plus que tout

Quel délice!
Tu débordes et tu glisses
Montre-moi mes faiblesses
Comme dans mes rêves pourpres et vermeils
Ces sentiments sur le bout de tes lèvres
Me rappellent qu'on est peu de chair
Avec ta langue
Montre que je tangue encore

Plus que tout au monde...


CAMILLE S'ENDORT

Camille est là, elle s'endort
A côté du chat qui dort déjà
Camille est là, des yeux d'or
Dans ses mains dix petits doigts
Qui serrent très fort
Sa poupée qui reste là
Quand elle s'endort chaque fois

Doux des mots doux
Pour que tu t'endormes
Doux mes yeux doux
Pour tes rêves encore

Doux des mots doux...

Camille elle dit, mille fois
Le même mot depuis déjà des mois
Et moi je suis fou, fou de toi
Lolita quand tu me regardes comme ça
Tu me fais dire n'importe quoi
Et tu t'endors chaque fois

Doux des mots doux
Pour que tu t'endormes
Doux mes yeux doux
Pour tes rêves encore

Doux des mots doux...


LES MAINS QUI SE CHERCHENT

Tes mains qui me cherchent partout
Quand le matin je dors encore debout
Encore debout
Le soleil pointe derrière le store
Dans l'obscurité je t'adore
Je t'adore
Quand au réveil tu cherches à tort
Et en travers le contact de nos corps
De nos deux corps, nos deux corps

Tu vas me manquer...

A force de se chercher partout
On risque de se perdre malgré tout
Malgré tout
Ce qu'on s'est promis un jour
C'est fou c'qu'on peut s'dire en amour
Mon amour, mon amour... humm!

Tu vas me manquer...

Mes mains qui te cherchent partout
Depuis presqu'un an je l'avour c'est fou!
C'que tu m'as manqué
Tes mains qui me cherchaient partout
Me manquent encore aujourd'hui
Dans quelques temps c'est promis
Je ne t'attendrai plus la nuit mon amour
Mon amour

Tu vas me manquer...


LA CAPTURE

Je dessine ces lèvres tant attendues
En esquisse fiévreuse et tendre
Qui murmurent comme des bouches suspendues
Les mots qui donnent envie de s'étendre

Si je te capture
Si je te capture

En pastels, je peins le dix-septième ciel
Qui te découvre encore plus belle
Si je pouvais me fondre dans l'aquarelle
Avec toi, et ne plus rien regretter sur cette terre

Si je te capture
Si je te capture

Il faut que je te capture
Pour l'amour du ciel
C'est pour l'amour j'te jure
Avant que ma poussière
?e redevienne poussière
Pour l'amour du ciel

Des heures durant à retenir
Mon souffle comme mon désir
A me colorier le visage et le coeur
Par dépit et non par plaisir

Si je te capture...

C'est pour l'amour du ciel
C'est pour l'amour du ciel

Il faut que je te capture
Pour l'amour du ciel
C'est pour l'amour j'te jure
Avant que ma poussière
?e redevienne poussière
Pour l'amour du ciel


LA MOITIE DE MOI

Je cherche, la moitié nécessaire
Aux nuits moites, sentimentales et chair
Celle qui cherche à briller par l'absence
La moitié de mon âme, qui me brûle les sens

Je cherche la moitié de moi
Celle qui brillera près de moi
Je cherche la moitié de moi
Cette fille qui n'aimera que moi

Je cherche, la moitié nécessaire
A la naissance sentimentale et chère
Chair de nos corps, de deux moitiés d'amour
Mon alter ego, mon double si nécessaire

Je cherche la moitié de moi
Celle qui brillera près de moi
Je cherche la moitié de moi
Cette fille qui n'aimera que moi

Je cherche, deux moitiés d'hémisphère
Une vie en vain, à courir la Terre entière
A chasser tout ce qui est éphémère
Sans m'emporter, je vais sans vaincre pour autant

Je cherche la moitié de moi
Celle qui brillera près de moi
Je cherche la moitié de moi
Cette fille qui n'aimera que moi

Je vais sans vaincre pour autant
Je cherche à supporter le temps

Je cherche la moitié de moi...


LAURELENN

Laurelenn
De l'or dans les doigts et pourtant vois
Tout le mal que tu as fait autour, tout autour de toi
Tu es Laure, d'ores et déjà, loin de moi cruelle
Laurelenn dis-moi
Que rien ne nous perdras... ne nous perdras

Laurelenn
De l'or dans les doigts, à se perdre des fois
A s'oublier tels infidèles, et à s'enfuir au delà
A tort ou à raison de moi mais pourtant éternelle
Laurelenn redis-moi
Que rien ne nous perdras, ne nous perdras...

Laurelenn
De l'or dans les doigts, et pourtant vois
Mon heure est venue love, déjà tu m'as perdue Laure
Tu étais d'or et moi je voulais m'endormir
Laurelenn près de toi
Que rien dès lors ne te perde
Laurelenn


A TOUT PRENDRE

Entre deux lattes vénitiennes
Je t'observe sous les persiennes
Allongée à l'horizontale
Sous les lamelles où tu t'étales
Derrière le store tu t'exposes
En Vénus tu prends la pose
Enroulée dans un voile transparent
Tu te dévoiles lentement

A tout prendre oh oui je préfère
Ne rien prendre du tout
Plutôt que d'y prendre goût
A tout prendre oh oui je préfère
Ne rien prendre du tout
Plutôt que d'y prendre goût, que d'y prendre goût

Entre deux lattes vénitiennes
Je t'espionne sous les persiennes
Et je frissonne à l'idée
De te rejoindre comme l'air et la lumière
Par l'ouverture se glisser
Aider la lumière à caresser
Ta peau douce dans un souffle
Comment pourrais-je y résister?
Et pourtant... et pourtant...

A tout prendre oh oui je préfère
Ne rien prendre du tout
Plutôt que d'y prendre goût
A tout prendre oh oui je préfère
Ne rien prendre du tout
Plutôt que d'y prendre goût, que d'y prendre goût


RENDEZ-VOUS PRES DU CIEL

Rendez-vous ce soir dans mes rêves
Tu sais bien que je t'attendrai
Déjà des siècles que je crève
D'être avec toi encore plus près
Laissez-moi dormir

Loin de moi et plus silencieuse
Comme une pluie qui n'a de cesse
Q'une nuit une envie furieuse
Je voudrais tellement que tu restes

C'est ce soir que je lui donnerai

Rendez-vous près du ciel
Plus près de moi mon rêve éternel
Rendez-vous près du ciel
Là où le soleil n'est plus un secret pour elle

Mon Dieu est-ce moi ou bien le sort?
Je voudrais qu'elle n'aie jamais peur
Comme une étoile que l'on implore
Je la toucherai du bout du coeur

C'est ce soir que je lui donnerai

Rendez-vous près du ciel
Cette fois-ci c'est pour toujours mon amour
Rendez-vous près du ciel
Puisque tout s'arrête un jour, un jour

Elle est tellement belle
Ma la vie est trop cruelle
Laissez-moi franchir ces années-lumière
M'enfuir vers une autre terre
J'ai rendez-vous avec l'amour

Rendez-vous près du ciel
Cette fois-ci c'est pour toujours mon amour
Rendez-vous près du ciel
Puisque tout s'arrête un jour, un jour,
Un jour


LES MOTS D'AOUT

On se dit des mots d'août
De jolis mots défendus
Où nos âmes se répandent
Et nos corps se confondent
On s'fait des maux d'amour
Un moment d'égarement

La raison n'a plus le temps
De l'attendre plus longtemps

On se dit des mots doux
Puis on s'étend pour de bon
L'amour c'est plus fort que tout
La colline est si douce et la peau si tendre
C'est si bond e l'entendre

Personne ne nous écoute
On sera si bien ensemble

Que revienne septembre
Pour s'aimer d'amour tendre
Que revienne septembre
Pour se dire des mots tendres
Et se faire des yeux doux
Pour se dire des mots d'août

Nous deux c'est pour de bon
Aujourd'hui qui peut prétendre
T'aimer plus fort que tout
On s'fait des mots d'amour
Dans un moment de doute
Je crains le pire
Ecoute

Et surtout n'aie pas peur c'est fou!
Car je t'aime plus que tout

Que revienne septembre
Pour s'aimer d'amour tendre
Que revienne septembre
Pour se dire des mots tendres
Et se faire des yeux doux
Pour se dire des mots d'août

Que revienne septembre...


LA MEME LANGUE

Se plaire, à Florence
L'insouciance, les confidences
On s'dévore, on s'évapore
En douce
Tellement de chose à se dire encore...

En cadence, la candeur
De ton souffle, exalter la douceur
On s'mélange, on s'échange
Des mots d'août
Tellement de choses à se dire encore...

Tu m'aimeras
Le jour où tu parleras
La même langue que moi
Mais je ne t'en voudrai pas
S'il te faut du temps pour avouer
Que tu n'aimes que moi
Dans la même langue que moi

S'éprendre, à Florence
Dans les jardins, en silence
On s'enflamme puis l'on s'éteint
A l'idée, de penser, qu'on pourrait
Se perdre un matin

L'amertume, aux heures de brumes
Le chagrin, les soirs d'écumes
La détresse et l'ivresse
Le désordre
La douleur qu'on redoute
Et les doutes...

Tu m'aimeras
Le jour où tu parleras
La même langue que moi
Mais je ne t'en voudrai pas
S'il te faut du temps pour avouer
Que tu n'aimes que moi
Dans la même langue que moi


Un jour comme aujourd’hui

(D.GOLEMANAS / PASCAL OBISPO)

Si ton dieu d’amour
A fait une croix sur toi
Il n’manque pas d’humour
C’est ton karma
Mais qu’est ce que t’a fait pour
T’attirer les foudres, de l’amour
Elle font nos malheurs
Des idées i…déales
Tu parles d’un bonheur
Un moindre mal
Qui te fait des rougeurs
Un joyeux farceur
J’en ai peur
Un jour de plus d’amour en moins
Mais a qui souris la vie
Un jour comme aujourd’hui
Ici on vie
Ailleurs on meurt
Pas d’amour mais sans amour
Un jour comme aujourd’hui
J’attend le jour J
Ce jour la j’y croirais
Aux tours de magie
Que tu nous promets
Sauver l’humanité
T’imagine bien
Que c’est pas gagné
Un jour de plus d’amour en moins
Mais a qui souris la vie
Un jour comme aujourd’hui
Ici on vie
Ailleurs on meurt
Pas d’amour mais sans amour
Un jour comme aujourd’hui
 


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